il a eu
l'idée de recourir
d'abord au super-ellipsoïde (remplacer l'exposant 2 par 4) ;
jugeant le résultat trop plat, il a opté
après des
simulations sur ordinateur pour un exposant 3,5 (
Télérama
n°2746,
Août 2002)
Toute courbe section plane est alors une courbe de Lamé.
Gabriel
Lamé (1795-1870) les a introduites en 1828 (avec
un exposant
m quelconque
au lieu de 2)
dans son
Examen des
Différentes Méthodes Employées pour
Résoudre les Problèmes de
Géométrie.
Selon cette
autre page,
scientifiquement plus documentée, l'exposant serait 2,2...
le
Mathouriste
attend (avidement!) de trouver d'autres sources pour
éclaircir
définitivement la question de l'exposant. Paul Andreu aborde
brièvement et, si l'on ose dire... elliptiquement la
question en 2004, lors d'une
que chacun pourra visionner en suivant le lien; une petite dizaine de
minutes après le début, il y déclare:
"C'est une notion un peu confidentielle. C'est un ellipsoïde dans lequel le coefficient de x/a
et de y/b
n'est pas égal à deux,
mais à deux virgule quelque chose... Chaque fois que je cite le
chiffre, je me trompe, donc je ne le dirai pas! Ce doit
être 2,3... 2,4, je n'en sais rien.
Mais c'est une forme mathématique pure."
Nous lui pardonnerons le lapsus (
coefficient au lieu d'
exposant)
pour cette belle conclusion (soulignée par nous). Il est donc
probable que l'interview de 2002 ait aussi obéi au
principe:
"Chaque fois que je cite le chiffre,
je me trompe!"
Apparemment, il a eu un prédecesseur en la
personne du
Danois
Piet
Hein (1905-1996), qui a utilisé en architecture
l'exposant
2,5. (voir
cette
page, avec des informations sur les courbes de
Lamé)
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